je pense que plus les sujets sont vastes et ouverts, plus on a justement la possibilité de s’ouvrir nous aussi au delà de toutes nos préoccupations d’adulte en devenir...et de réfléchir de tout...sans être forcément encrés dans le sujet du mal-être ou des questionnements.Les réponses, on les trouve tout autour (et je te l’accorde Anaig, des fois les parents ne nous les apportent pas hélas :’()
C’est vrai que les idées noires, la sexualité, les questions diverses que bien des jeunes(moi comprise...) se posent ont une place très importante et non négligeable mais je crois qu’en allant voir justement au delà, indirectement on comprend avec le temps. L’ouverture est une clef pour la seconde porte : l’apaisement. Cela dit je comprends bien la nécessité à partager toutes ces choses qui peuvent ronger à l’intérieur...et cette absence de réponses que l’on voudrait voir disparaître, comme le "vide"... Mais c’est en allant voir "autour" que ca devient moins lourd, enfin je pense, pour avoir essayé...et je ne regrette pas d’ailleurs... Peu importe notre parcours, qu’il ait été lourd d’embûches ou un peu moins, on finit par y arriver. Ca prend du temps mais on y arrive, courage Anaig ! Elodie